ONG Samba Mwanas

Ce diaporama nécessite JavaScript.

.ACTIONS

Intervenir auprès des institutions publiques et privées ainsi que des medias et organismes sociaux en vue de mesurer l’ampleur du phénomène.
Encourager les jeunes à s’impliquer et à participer à la défense de leurs droits et à la rédaction du rapport alternatif sur la CDE et la CADBE.
Favoriser les mises en place des cellules d’écoute pour les enfants et les jeunes dans les provinces.
Développer des actions de terrain dans le domaine de la promotion et la protection des droits de l’enfant.
Travailler en étroite collaboration avec les professionnels, les centres d’accueil, des assistantes sociales, des psychologues, les professionnels de santé, d’un avocat, le procureur, le juge des mineurs.
Créer des projets pilotes de prévention contre toutes violences et abus sexuels sur les enfants et les jeunes.
Agir sur le système d’informations relatives au parcours de la victime, il faut entendre que l’ensemble des procédures judiciaires et juridiques sont trop lourdes.
L’action de médiation, de facilitateur de contact avec la famille est indispensable en vue de la réinsertion familiale.
Défendre les intérêts et les droits des enfants et des jeunes confrontés au cas d’inceste.
Faire un état de lieux de la problématique à l’échelle nationale.Favoriser la création de groupes de rencontres et de discussions entre jeunes pour permettre de développer une solidarité entre eux ainsi qu’organiser des rencontres entre enfants, parents ou autres intervenants.
Organiser ou faire organiser des conférences, forum de discussion.
Permettre les échanges d’expériences et le soutien réciproque, notamment via des réunions thématiques.
Porter une attention particulière aux différents publics (les enfants et les jeunes, les publics défavorisés et/ou vulnérables.

LE BUT

Le but de Samba Mwanas est de contribuer à ce que tous les enfants bénéficient de leurs droits fondamentaux énoncés dans la convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant et dans la charte Africaine des Droits et du Bien-être de l’enfant, que ces derniers soient à l’abri de toutes formes de maltraitance.

Samba Mwanas mène toute action utile en ce sens et, notamment, sans restriction, seule ou en partenariat, informe, forme, sensibilise guide, éduque, entreprend des actions sociales, des actions culturelles et informatives, au sujet des violences et abus sexuels dirigés contre les enfants et jeunes.

Nous œuvrons avec enthousiasme, professionnalisme et détermination pour qu’enfants et jeunes puissent devenir des adultes heureux et épanouis malgré leur état de vulnérabilité.

Le phénomène des violences et abus sexuels dirigé contre l’enfant grandissant dans notre pays constitue à la fois un épineux problème de santé publique et une violation flagrante des droits humains fondamentaux.

La gravité et la cruauté de telles pratiques inhumaines résident aussi bien dans la douleur physique, morale et sociale des victimes que dans les souffrances sanitaires et le drame psychologique que les enfants subissent au-delà des retombées négatives sur le développement économique et social de notre pays.

L’ONG Samba Mwanas qui est une organisation à vocation humanitaire, mène depuis le 1^er Novembre 2012 des actions et recherches en vue de faire cesser toute violence et abus sexuels dirigés contre enfant et jeune au Gabon.

En mettant l’accent sur la conscientisation, l’éducation préventive, la prise en charge psychosociale et le suivi juridique de la victime.

Elle contribue à ce que tous les enfants et jeunes soient à l’abri de toutes formes de maltraitance et qu’ils bénéficient de leurs droits fondamentaux énoncés dans les instruments régionaux et internationaux ratifiés par le Gabon à savoir :

-La Convention relative aux droits l’enfant ;

-La charte africaine des droits de l’enfant ;

-Le protocole de Palerme ;

-La charte africaine de la jeunesse…

Les milieux pédagogiques par excellence pour l’enfant et le jeune.

Le constat désolant et alarmant est que le phénomène des abus sexuels perturbe dangereusement l’équilibre de la première cellule qui est la famille.

Les deux milieux pédagogiques par excellence où l’enfant devrait être le plus en sécurité sont plutôt des cadres d’exploitation les plus réguliers, et les plus proches parents, les amis de la famille, les encadreurs pédagogiques, les camarades les plus âgés sont les auteurs de ces abus.

Certes, le code pénal Gabonais condamne les abus sexuels et d’autres violences, mais le cadre habileté à dénoncer reste très restreint si l’on prend le cas de l’inceste très répandue dans notre pays.

Il nous semble impératif qu’une synergie soit mise en place et que des actions concrètes soient menées à différents niveaux de la société.

Autrefois, l’enfant était considéré dans nos sociétés comme un bien précieux appartenant non seulement à la famille mais à la communauté toute entière.

Malheureusement, la problématique des violences et abus sexuels envers les enfants dans nos communautés devient récurrente que l’on ne peut s’empêcher de s’interroger sur les raisons d’une telle délinquance sociale.

Ce phénomène grandissant dans notre pays, constitue à la fois un épineux problème de santé publique et une violation flagrante des droits humains fondamentaux.

La gravité et la cruauté de telles pratiques inhumaines résident aussi bien dans la douleur physique, morale et sociale des victimes que dans les souffrances sanitaires et le drame psychologique que les enfants et les jeunes subissent au-delà des retombées négatives sur le développement économique et social de notre pays

Autant de préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se trouvent ces enfants, et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la non prise en charge et de leur protection sociale après dénonciation.

Les enfants/jeunes victimes de violences et d’abus sexuels font face à des problèmes de santé à long termes, notamment des problèmes de santé- reproduction. Ils présentent de sérieuses conséquences émotionnelles, psychologiques y compris de blessures physiques, de la douleur, de la peur, de la détresse et des infections sexuellement transmissibles.

Tous ces mots relevés plus haut justifient la motivation de nos recherches documentaires.Montage de coupures de presse

Accueil

Recherches documentaires sur les violences et abus sexuels envers les enfants au Gabon